Co-fondatrice de Komuno et consultante depuis 5 ans, Noémie Kempf est considérée comme une experte des communautés avec une spécialité pour les sujets Brand Content et stratégie de marque. Aujourd’hui, elle devient auteure avec la sortie de son premier livre “Le pouvoir des communautés”.
Architecte de formation, j’ai participé, durant mes études, au concours “Sakan Innov » au Maroc, centré sur la création d’un habitat évolutif. Cette expérience, où nous avons décroché le deuxième prix, a été un tournant pour moi. Elle m’a aidé à réaliser l’importance de l’innovation ouverte dans l’aménagement urbain.
La création, l’organisation et l’animation de communauté n’est pas chose évidente, surtout quand il s’agit de sélectionner ses outils. L’animation communautaire via des applications mobiles comporte des avantages mais aussi des inconvénients. Pour bien utiliser des outils communautaires, il est important de réfléchir à une stratégie et de préparer un plan d’actions afin de répondre à des objectifs précis.
L’innovation est devenue un pilier essentiel dans notre paysage économique, propulsant les entreprises et les organisations vers de nouveaux horizons. L’innovation collaborative repose d’abord sur la confiance collective. Cependant, au cœur de cette dynamique complexe, un élément se démarque comme le fondement de toute entreprise innovante : la confiance.
Dans cet article, on a le plaisir de présenter et d’écouter l’expertise d’Antoine Macret afin de parler des communautés professionnelles. Faire communauté : une stratégie territoriale incontournable ? Ou plutôt une stratégie qui fonctionne pour HDFID face aux grandes transitions.
Depuis la fin des années 90, je fais des recherches sur la notion de communauté avec un certain nombre de collègues. On a donc accumulé beaucoup d’expériences dans différentes entreprises qui se sont tournées vers les communautés d’innovation. Parmi celles-ci, il y a effectivement le cas d’Ubisoft mais ce n’est pas le seul. Aussi, on a travaillé sur Michelin, sur la communauté Schneider, et plus largement à tout ce qui touche au jeu vidéo en dehors d’Ubisoft.
Je suis enseignante-chercheure à l’IDARC Business School, j’ai fait une thèse sur les communautés de pratique en innovation en me basant sur l’exemple du Groupe SEB. Je réalisais mon mémoire de fin d’études sur le groupe SEB en étudiant les relations sièges/filiales. Au même moment, la direction de l’innovation au sein du groupe SEB avait le souhait de créer une communauté pour capitaliser les connaissances, créer des liens et d’accélérer l’innovation entre les business units. L’opportunité s’est donc présentée de continuer sur cette thématique pour un sujet de thèse. Cela m’a permis d’étudier de près les communautés pendant 4 ans, de la création du projet jusqu’à son aboutissement.
Je travaille depuis une trentaine d’années sur la collaboration entre entreprises concurrentes dans des thématiques variées. J’ai trois types d’activités que je pratique à l’international uniquement. D’une part, j’accompagne les gouvernements qui souhaitent mettre en place des politiques publiques pour favoriser les regroupements d’acteurs économiques. D’autre part, je travaille avec ces mêmes acteurs, essentiellement des entreprises mais aussi des laboratoires de recherches ou institutions, pour les aider à se mettre en réseau. Enfin, ma troisième activité consiste à former des ressources humaines pour piloter ces réseaux.
Après une double formation (doctorat vétérinaire et Sciences-Po), Véronique Gricourt a multiplié les expériences professionnelles dans différents secteurs d’activités. C’est pourquoi, ce nouveau challenge de direction d’un campus des métiers des qualifications lui permet de mettre une nouvelle corde à son arc : la mise en relation du monde académique de la formation avec le monde de l’entreprise, des collectivités locales et des services de l’État. Dans cet article, Véronique nous parle du rôle des communautés pros au sein des CMQ et de leur importance.
Après 40 années d’expérience multisectorielle et multi structure également, j’ai passé 5 ans en Suisse dans le secteur de l’horlogerie médicale. Aujourd’hui, je suis manager de transition en direction industrielle produit/process et j’aide les organisations à mettre en place des solutions opérationnelles pour répondre à des objectifs industriels précis.