Auparavant, l’industrie était un outil de domination sur la nature tandis qu’aujourd’hui elle se doit de rentrer dans un cadre de symbiose avec l’environnement. Récemment on parle beaucoup de décarbonation, de l’industrie. Mais ce n’est pas le seul volet, on parle aussi d’une économie de fonctionnalité pour limiter l’empreinte environnementale, on s’attache aux sujets de la circularité ou à l’empreinte foncière des usines, à la biodiversité.
“En premier lieu, l’économie sociale et solidaire représente 10.5% des emplois et 13 millions de bénévoles en France. Elle est encadrée par la loi Hamon de 2014 qui la définit comme un “mode d’entreprendre et de développement”.
La Responsabilité Territoriale des Entreprises (RTE) implique les communautés pros. Quelles différences avec la RSE et quelle signification ? Maryline Filippi, professeure d’économie à Bordeaux Sciences Agro et chercheuse associée à l’INRAE, nous offre son expertise au cours d’une interview.
Créatrice du podcast The Storyline, qui décrypte les futurs possibles de notre société de consommation, Noémie Kempf est aussi la co-fondatrice de Komuno, la première école française dédiée au métier du Community Building. On a pu interroger Noémie, qui écrit actuellement un livre sur les communautés de marque, pour lui demander de nous partager sa vision du sujet.
On annonce 2023 comme une année qui va challenger les organisations et les équipes. La capacité de chacun et de tous à se serrer les coudes va devenir un enjeu encore plus essentiel pour faire face et tenir le cap. C’est là où le rôle des communautés apprenantes va être déterminant.
Quelle que soit leur taille, leur marché ou leur localisation, les entreprises font face à un environnement en pleine mutation. Dans ce contexte, comment font les entreprises pour survivre, se développer et croître ? Comment mobilisent-elles leurs ressources pour gérer toutes ces pressions, dont les facteurs varient de manière considérable et sont tout autant internes qu’externes ?